27.12.07

Il n'y a rien à attendre de Sarkozy ou de la politique

Bon article de Faré, lucide et donc pessimiste : il n'y a rien à attendre de Sarkozy ou de la politique.

Extrait:
Tout pouvoir repose d'abord et avant tout sur l'oppression des créateurs payeurs d'impôts par la force et la tromperie, au profit d'une classe de parasites receveurs d'impôts. Une armée de bureaucrates officiels maintient le pouvoir officiel, prélevant et répartissant l'impôt, opprimant les citoyens sous des réglements abrutissants, punissant ceux qui veulent échapper à l'extorsion et l'oppression. Une autre armée de commissaires politiques officieux (fausses associations grassement subventionnées, journalistes privilégiés, enseignants nationalisés) cultive les sources du pouvoir en propageant les idéologies victorieuses; une troisième armée, de socialement proches (criminels) actifs, crée la pression ordinaire contre les citoyens opprimés, et les jette dans les rets du seul secours qui leur est autorisé, le Pouvoir politique (toute tentative de créer une alternative à son monopole étant plus sévèrement réprimée qu'aucun crime). Enfin, une dernière armée, faite de petits privilégiés oisifs (syndicalistes, chomeurs, étudiants en rien, etc.) fera des coups de mains illégaux mais jamais sanctionnés contre tout opprimé qui voudrait se révolter: démonstrations de force, grèves, blocages, sabotages, vandalisme. Les travailleurs productifs, les créateurs de richesse, sont opprimés. Les parasites improductifs, les destructeurs de richesse, sont privilégiés. Par la tromperie idéologique, les rôles d'opprimés et privilégiés sont confondus voire inversés dans l'esprit de la majorité, et le pouvoir se perpétue. Le pouvoir est le contraire de la liberté, la politique s'oppose à l'économie. Il n'y a rien à attendre d'un bon homme politique, et aucun espoir de voir au pouvoir un mauvais homme politique.

2 commentaires:

Josick a dit...

Sur Sarko, je vous propose de relire ce post Sarko, personnage de roman ?

Josick a dit...

ainsi que celui-ci principalement sous la plume de Patrick Bonney : "non véritable réforme de la France